Une tiny house pour l'autonomie et la sérénité parentale
En Loire-Atlantique, un projet plein d’humanité prend vie : une tiny house de plein plain-pieds va bientôt s’installer dans le jardin d’une famille, destinée à leur fille de 20 ans en situation de handicap mental.
👉 Pourquoi une tiny ?
Parce qu’elle offre une vraie indépendance à cette jeune femme, un espace rien qu’à elle pour s’épanouir et continuer à grandir. Tout cela, avec la tranquillité d’esprit pour ses parents, qui restent juste à côté en cas de besoin.
Chez IZIPLACE, accompagner ce type de projet est une vraie fierté. Ce n’est pas qu’une Tiny House qu’on aide à installer, c’est une solution concrète pour plus d’autonomie, plus de sérénité, et surtout beaucoup de sens.
🎉 La déclaration préalable est validée, la fabrication peut démarrer !
Nous avons hâte de voir cette tiny prendre vie et devenir un petit cocon plein de promesses.
Nouvelle tiny house en réservation avec vue sur la Baie de St Brieuc
Nous sommes ravis de vous présenter la tiny house "BADA", nichée dans un cadre idyllique avec une vue imprenable sur la baie de St Brieuc. Ce site unique combine la beauté naturelle de la Bretagne avec des installations modernes, minimalistes et confortables, créant ainsi un refuge parfait pour les voyageurs en quête de détente et de tranquillité.
Un projet réalisé avec expertise
IZIPLACE a joué un rôle essentiel dans la concrétisation de ce projet. Nous avons été impliqués dans chaque étape, de la sélection du terrain à l'aménagement final, garantissant ainsi une expérience de séjour sans égale.
Nos contributions clés :
- Sourcing du Terrain : Nous avons identifié et sécurisé cet emplacement magnifique, offrant une vue panoramique sur la baie de St Brieuc.
- Négociations : négociations efficaces avec notre client pour obtenir les meilleures conditions d'achat et de développement du site.
- Accompagnement client : nous avons notre client à travers chaque étape du processus, assurant une collaboration fluide et fructueuse.
- Urbanisme : Nous avons géré toutes les formalités administratives pour obtenir les permis nécessaires, assurant ainsi la conformité avec les régulations locales.
- Maîtrise d'oeuvre :
- Clôture : Installation d'une clôture esthétique
- Parking : Création d'un espace de stationnement pratique et accessible.
- Equipements : Borne de recharge pour véhicules électriques, portail, bain nordique
- Travaux paysagers : Aménagement paysager soigné pour intégrer harmonieusement les structures au cadre naturel.
La tiny house BADA offre un maximum de confort dans un espace optimisé. Avec de grandes fenêtres (une dizaine en tout) offrant une vue panoramique sur le paysage environnant, chaque instant passé dans cette mini maison est une véritable invitation à la détente.
Réservez votre séjour dès aujourd'hui
Venez découvrir ce havre de paix et profiter d'un séjour inoubliable avec une vue à couper le souffle sur la baie de St Brieuc. Réservez dès maintenant et laissez-vous séduire par l'harmonie parfaite entre nature et modernité.
Pour toute information supplémentaire ou pour effectuer une réservation, n'hésitez pas à nous contacter. Les propriétaires seront ravis de vous accueillir dans ce lieu d'exception.
Portrait dans Femmes de Bretagne
Merci aux équipes de Femmes de Bretagne pour ce portrait.
Si le micro-habitat a le vent en poupe, peu maîtrisent le sujet de A à Z. Après une carrière passée dans l’immobilier « classique », Céline Chatriot s’est lancée, au sud de Nantes, il y a un an sur le marché émergent et en croissance de la tiny house en proposant un service clé-en-main.
Naît-on entrepreneure ou le devient-on ? C’est parfois à la faveur d’évènements inattendus que le déclic se produit et que l’envie de monter sa boîte pointe résolument son nez.
À l’instar de Céline Chatriot, 42 ans et entrepreneure depuis un an : « Mon expérience professionnelle en tant que directrice d’agence immobilière a dû s’arrêter à l’issue d’un congé maternité, mon poste n’étant plus disponible. Une première réaction épidermique fait rapidement place à une phase de remise en question. Ainsi, émergea l’idée de proposer une solution alternative au marché de l’immobilier. Le constat est connu : un déficit de logements, des prix élevés, des règles de financement qui se durcissent. Étudiants, jeunes actifs, retraités, ceux que je nomme les «accidentés de la vie » : séparés, sans emploi… ; nombreux sont ceux qui chaque jour cherchent un toit et ceux pour qui cette recherche est un véritable cauchemar.
La force de mon réseau, le soutien de mon mari et l’énergie de mes 4 enfants m’ont poussée à me lancer et à créer Iziplace, une entreprise spécialisée dans l’immobilier alternatif du micro-habitat et destiny houses en particulier. »
Vous restez dans votre cœur de métier qu’est l’immobilier : qu’est ce que l’entrepreunariat a changé pour vous ? Est-ce une continuité ou une rupture ?
J’ai le sentiment d’apporter quelque chose de nouveau dans l’immobilier en proposant un service de A à Z dans un marché qui n’est pas du tout de l’immobilier classique. Là, je dois convaincre les communes qui ont besoin d’être sensibilisées à ce nouveau mode d’habitat qu’elles confondent parfois avec l’habitat léger de loisir. Elles font ainsi souvent l’amalgame avec les mobil-homes ou les gens du voyage. Au-delà, ce qui a changé, c’est que je suis seule à la barre à prendre toutes les décisions, ce qui est à la fois excitant et déroutant. Enfin, le facteur humain est beaucoup plus présent : se faire construire une tiny-house, c’est souvent derrière impulser un changement de vie important et accompagner ces moments de vie là, c’est nourrissant et motivant.
Pourquoi avoir choisi la tiny house parmi les habitats alternatifs ?
Je me suis intéressée à l’habitat nomade : yourtes, containers, tiny-houses. En étudiant ces différentes formes de micro-habitat, j’ai fini par choisir la tiny-house : l’entretien de la toile, qui verdit rapidement, est une vraie contrainte pour une yourte, qui m’est apparue peu adaptée au climat de la Loire. Le container, lui, propose un confort thermique inférieur à une tiny-house et, une fois gruté, il est difficile de le déplacer. Les tiny-house sont des constructions à ossature bois comme une maison traditionnelle, à la différence qu’elles sont sontposées sur une remorque. Passives, elles n’ont quasi pas besoin d’être chauffées et en l’équipant de panneaux solaires, on peut les rendre autonomes et surtout elles sont mobiles. Le champs du possible devient intéressant !
Au-delà du choix de la forme de l’habitat, ce qui m’a motivée, c’est que tout est à bâtir car si le marché est en forte croissance, il est aussi émergent. Quand je me suis aperçue auprès d’un constructeur local de tiny house qu’il n’existait pas de solution clé-en-main, je me suis dit qu’il y avait là de quoi creuser mon sillon : Iziplace propose un accompagnement global, de l’étude du foncier disponible en lien avec les communes jusqu’au raccordement et à l’installation sur le terrain en passant bien sûr par la construction proprement dite. Au final, avec une surface de 2,55 mètres de large (nécessaire pour pouvoir circuler sur les routes) jusqu’à 8 mètres de long, les personnes disposent d’un espace de 20 à 35 mètres carrés si on inclu une ou 2 mezzanines où tout est conçu pour ne pas sentir à l’étroit. Que ce soit pour des jeunes, des couples qui se séparent,en location saisonnière ou bien encore pour des professionnels qui souhaitent disposer d’un espace de travail à la fois autonomes et cocooning, la tiny-house est une solution séduisante. Et ce, à un double titre : ce sont des constructions passives écoresponsables qui s’adressent aux petits budgets. Le prix moyen d’une tiny-house, incluant quatre couchages et une salle d’eau par exemple, est de 55 000 euros TTC.
Vous achevez votre première année comme entrepreneure : quelles sont les prochaines étapes du développement d’Iziplace ?
L’entreprise vit un fort décollage depuis janvier et je prévois une embauche l’année prochaine. Mon ambition est de devenir un acteur incontournable de la tiny-house et du micro-habitat dans ma région. J’ai également le projet de développer la location de tiny house aménagée en bureau pour des besoins temporaires liés à des travaux ou des embauches ou en hébergement pour répondre aux problématiques de logement des saisonniers, apprentis. A partir de 3 mois, vous pouvez louer une tiny house . Elle sera préparée, livrée, installée avec une série d’options possibles (terrasse, mobilier..) J’envisage d’ailleurs de créer des partenariats, notamment avec d’autres femmes entrepreneurs à l’activité complémentaire à la mienne que j’ai justement rencontrées au sein du réseau Femmes de Bretagne.
Avec ce réseau, j’ai trouvé naturellement une entraide et une écoute bienveillante ainsi qu’une grande richesse dans les propositions d’ateliers, de rencontres : comment travailler son identité de marque sur les réseaux sociaux ? Quel est notre rapport à l’argent ? Etc. Femmes de Bretagne me fait faire des pas de côté en m’invitant à analyser autrement les choses, de manière à la fois plus intuitive et pragmatique. J’y rencontre d’autres entrepreneures avec lesquelles des partenariats sont possibles, à l’instar par exemple de «Pause Rangement » lancé par Violaine Brunet, car quand on décide de vivre dans un micro-habitat, la question du tri de ses affaires se pose avec tout le volet psychologique qu’il y a derrière.
Réglementation autour de la Tiny House
Pour installer votre tiny house sur un terrain, vous devez respecter la réglementation en vigueur. Si vous souhaitez poser votre Tiny House sur un terrain constructible, vous devez respecter le PLU (Plan Local d’Urbanisme) communal ou intercommunal (PLUi) qui détermine les conditions d’aménagement et d’utilisation des sols. Dans ce cas, une simple déclaration de travaux (DP) suffit.
Si le terrain n’est pas constructible, la réglementation fixe le séjour à trois mois maximum sur le terrain. Si vous souhaitez faire de la Tiny House votre habitat permanent, vous devrez alors vous rapprocher de la mairie et du responsable de l’urbanisme, afin d’obtenir une autorisation pour installer votre Tiny House.
Attention, l'installation n'est pas possible dans le périmètre des sites patrimoniaux remarquables, des abords des monuments historiques et des sites classés ou en instance de classement. Si sa surface de plancher excède 20 m2, elle est soumise à un permis de construire (par exemple avec 2 tinys).
Côté assurance, votre Tiny House doit être assurée au moment du déplacement par le biais du véhicule qui la tracte. Lorsqu’elle sert d’habitation, vous pouvez faire appel à un assureur spécialisé dans l’assurance de Tiny House, ou bien contacter votre assureur pour convenir des garanties les plus adaptées à votre habitat alternatif.
A noter : Les tinys respectent les gabarits routiers qui leur permettent de se déplacer facilement sur les routes françaises : 2,55 mètres de large, 4,20 mètres de haut et un poids total inférieur à 3,5 tonnes. Au-delà de ce format, les Tiny Houses sont considérées comme des convois exceptionnels et le déplacement est nettement plus coûteux. Attention, le permis B ne suffit pas pour pouvoir déplacer votre Tiny House, vous devez être en possession du permis BE pour pouvoir conduire une voiture et une remorque d’une telle charge (le constructeur vous proposera un forfait au km pour la livraison, bien moindre qu'un transport en convoi exceptionnel).
Pour concrétiser votre projet, nous vous apportons l’accompagnement adapté : de la recherche du terrain, en passant par l’analyse de l’urbanisme de chaque commune jusqu’à l’installation. Prenez contact et exposez-nous votre projet !
Processus pour concrétiser son projet de tiny house
Le processus constructif pour un micro-habitat est à la fois court et complexe : il faut optimiser chaque étape et chaque détail.
9 étapes sont nécessaires à la réalisation complète d’un projet
Etape 1 : 1er contact, cahier des charges
Etape 2 : mandat de recherche pour votre terrain ou étude zonage/PLU de votre terrain en possession
Etape 3 : visite de terrains ciblés, étude PLU ou étude de l’implantation de votre micro-habitat sur votre terrain (relevés sur site, repérage terrain & réseaux)
Etape 4 : rendez-vous/échange avec l’urbanisme, préparation du dossier de Déclaration Préalable (DP) ou Permis de Construire (PC)
Etape 5 : choix du constructeur (tiny house, micro-habitat sur pieux...)
Etape 6 : dépôt DP ou PC. Modifications éventuelles. Attente du délai de recours aux tiers
Etape 7 : fabrication en atelier conformément aux options décidées par le client (hors d’eau, hors d’air, personnalisations…)
Etape 8 : préparation des raccordements réseaux selon autonomie souhaitée, visite sur site pour préparer la livraison
Etape 9 : livraison, les clés sont là 😉
Il faut compter entre 8 à 12 mois selon les projets pour la concrétisation.