Portrait dans Femmes de Bretagne
Merci aux équipes de Femmes de Bretagne pour ce portrait.
Si le micro-habitat a le vent en poupe, peu maîtrisent le sujet de A à Z. Après une carrière passée dans l’immobilier « classique », Céline Chatriot s’est lancée, au sud de Nantes, il y a un an sur le marché émergent et en croissance de la tiny house en proposant un service clé-en-main.
Naît-on entrepreneure ou le devient-on ? C’est parfois à la faveur d’évènements inattendus que le déclic se produit et que l’envie de monter sa boîte pointe résolument son nez.
À l’instar de Céline Chatriot, 42 ans et entrepreneure depuis un an : « Mon expérience professionnelle en tant que directrice d’agence immobilière a dû s’arrêter à l’issue d’un congé maternité, mon poste n’étant plus disponible. Une première réaction épidermique fait rapidement place à une phase de remise en question. Ainsi, émergea l’idée de proposer une solution alternative au marché de l’immobilier. Le constat est connu : un déficit de logements, des prix élevés, des règles de financement qui se durcissent. Étudiants, jeunes actifs, retraités, ceux que je nomme les «accidentés de la vie » : séparés, sans emploi… ; nombreux sont ceux qui chaque jour cherchent un toit et ceux pour qui cette recherche est un véritable cauchemar.
La force de mon réseau, le soutien de mon mari et l’énergie de mes 4 enfants m’ont poussée à me lancer et à créer Iziplace, une entreprise spécialisée dans l’immobilier alternatif du micro-habitat et destiny houses en particulier. »
Vous restez dans votre cœur de métier qu’est l’immobilier : qu’est ce que l’entrepreunariat a changé pour vous ? Est-ce une continuité ou une rupture ?
J’ai le sentiment d’apporter quelque chose de nouveau dans l’immobilier en proposant un service de A à Z dans un marché qui n’est pas du tout de l’immobilier classique. Là, je dois convaincre les communes qui ont besoin d’être sensibilisées à ce nouveau mode d’habitat qu’elles confondent parfois avec l’habitat léger de loisir. Elles font ainsi souvent l’amalgame avec les mobil-homes ou les gens du voyage. Au-delà, ce qui a changé, c’est que je suis seule à la barre à prendre toutes les décisions, ce qui est à la fois excitant et déroutant. Enfin, le facteur humain est beaucoup plus présent : se faire construire une tiny-house, c’est souvent derrière impulser un changement de vie important et accompagner ces moments de vie là, c’est nourrissant et motivant.
Pourquoi avoir choisi la tiny house parmi les habitats alternatifs ?
Je me suis intéressée à l’habitat nomade : yourtes, containers, tiny-houses. En étudiant ces différentes formes de micro-habitat, j’ai fini par choisir la tiny-house : l’entretien de la toile, qui verdit rapidement, est une vraie contrainte pour une yourte, qui m’est apparue peu adaptée au climat de la Loire. Le container, lui, propose un confort thermique inférieur à une tiny-house et, une fois gruté, il est difficile de le déplacer. Les tiny-house sont des constructions à ossature bois comme une maison traditionnelle, à la différence qu’elles sont sontposées sur une remorque. Passives, elles n’ont quasi pas besoin d’être chauffées et en l’équipant de panneaux solaires, on peut les rendre autonomes et surtout elles sont mobiles. Le champs du possible devient intéressant !
Au-delà du choix de la forme de l’habitat, ce qui m’a motivée, c’est que tout est à bâtir car si le marché est en forte croissance, il est aussi émergent. Quand je me suis aperçue auprès d’un constructeur local de tiny house qu’il n’existait pas de solution clé-en-main, je me suis dit qu’il y avait là de quoi creuser mon sillon : Iziplace propose un accompagnement global, de l’étude du foncier disponible en lien avec les communes jusqu’au raccordement et à l’installation sur le terrain en passant bien sûr par la construction proprement dite. Au final, avec une surface de 2,55 mètres de large (nécessaire pour pouvoir circuler sur les routes) jusqu’à 8 mètres de long, les personnes disposent d’un espace de 20 à 35 mètres carrés si on inclu une ou 2 mezzanines où tout est conçu pour ne pas sentir à l’étroit. Que ce soit pour des jeunes, des couples qui se séparent,en location saisonnière ou bien encore pour des professionnels qui souhaitent disposer d’un espace de travail à la fois autonomes et cocooning, la tiny-house est une solution séduisante. Et ce, à un double titre : ce sont des constructions passives écoresponsables qui s’adressent aux petits budgets. Le prix moyen d’une tiny-house, incluant quatre couchages et une salle d’eau par exemple, est de 55 000 euros TTC.
Vous achevez votre première année comme entrepreneure : quelles sont les prochaines étapes du développement d’Iziplace ?
L’entreprise vit un fort décollage depuis janvier et je prévois une embauche l’année prochaine. Mon ambition est de devenir un acteur incontournable de la tiny-house et du micro-habitat dans ma région. J’ai également le projet de développer la location de tiny house aménagée en bureau pour des besoins temporaires liés à des travaux ou des embauches ou en hébergement pour répondre aux problématiques de logement des saisonniers, apprentis. A partir de 3 mois, vous pouvez louer une tiny house . Elle sera préparée, livrée, installée avec une série d’options possibles (terrasse, mobilier..) J’envisage d’ailleurs de créer des partenariats, notamment avec d’autres femmes entrepreneurs à l’activité complémentaire à la mienne que j’ai justement rencontrées au sein du réseau Femmes de Bretagne.
Avec ce réseau, j’ai trouvé naturellement une entraide et une écoute bienveillante ainsi qu’une grande richesse dans les propositions d’ateliers, de rencontres : comment travailler son identité de marque sur les réseaux sociaux ? Quel est notre rapport à l’argent ? Etc. Femmes de Bretagne me fait faire des pas de côté en m’invitant à analyser autrement les choses, de manière à la fois plus intuitive et pragmatique. J’y rencontre d’autres entrepreneures avec lesquelles des partenariats sont possibles, à l’instar par exemple de «Pause Rangement » lancé par Violaine Brunet, car quand on décide de vivre dans un micro-habitat, la question du tri de ses affaires se pose avec tout le volet psychologique qu’il y a derrière.
Une offre touristique alternative et écoresponsable sur l'Île d'Oléron
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Très heureuse de vous annoncer un nouveau concept « tourisme durable » en bord de mer : Les jardins d’IOde sur l’île d’Oléron.
IZIPLACE a réalisé une mission AMO (assistance à la maîtrise d’Ouvrage) du concept touristique avec le référencement de trois constructeurs :
LES PTITS NIDS - IDEAL TINY - L'ARTINY
A deux pas de la place du marché, 600 mètres des plages, le programme propose des jardins cocon de 250m². A très vite pour vous présenter plus en détails : LES JARDINS D’IODE, une expérience résidentielle à contre-courant de l'offre touristique traditionnelle.
Seulement 22 emplacements 😉 😊
Vous êtes intéressés, laissez-nous un message !
Iziplace sur Youtube
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Investissement immobilier terrain et tiny house
🍃Imaginez-vous, vous réveillez avec une vue imprenable sur la baie de Saint Brieuc, respirant l'air de la mer, entouré d'un jardin paisible avec une nature préservée. 🌊
C'est le projet d'un de nos clients investisseurs en faisant appel à IZIPLACE, dans l’optique d’y installer une Tiny house pour un projet de location saisonnière.
Nous avons trouvé le terrain, réalisé l'atterrissage financier, géré les démarches administratives/urbanisme. La maîtrise d'œuvre est en cours (viabilisation, raccordement, portail, design paysager, éclairage extérieur, mobilier, etc.). Nous proposons une solution clé en main selon les attendus clients.
🎯Le résultat : un projet personnalisé idéal pour la location type Airbnb.
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Qu'en pensez-vous?
Vous aussi, vous pouvez investir dans un projet éthique et responsable avec IZIPLACE !
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DOWNSIZING, par choix ou par obligation. Un effet de mode ou une inscription dans la durée ?
Tous ces mètres carrés que nous payons…Ont-ils tous leur utilité ? De combien avons-nous réellement besoin ? Le fait de réduire son espace habitable, « Downsizing » est-il une mode passagère ou une nouvelle manière d’envisager l’accession à la propriété?
Voici quelques clés de lecture qui vous permettront de découvrir ce phénomène.
L’augmentation des coûts de la construction ou ceux de l’énergie, la difficulté d’être financé, la rareté du foncier, l’importance accordée au développement durable : nombreuses sont les raisons qui poussent les futurs acheteurs à solliciter IZIPLACE pour acquérir un micro-habitat type tiny house ou en micro-construction en ossature bois. En observant le marché immobilier actuel, nous pensons que le downsizing peut être une tendance durable.
Beaucoup de gens rêvent de plus grand, avec une chambre en plus pour la famille, les amis, une grande pièce de vie avec une belle cuisine, une salle de bains spacieuses et beaucoup de rangements (dont le fameux dressing !). Cependant, ces surfaces ont un coût : écologique et énergétique. Alors que certains sont contraints pour des changements de vie (séparation, perte d’activité..), d’autres décident de tout plaquer, parfois pour s’éloigner de la vie tumultueuse des villes et s’installer dans un petit « chez soi ».
Passer d’un lieu de vie d’une taille traditionnelle à un lieu de vie plus petit est loin d’être évident. Cela vous rappelle combien vous avez entassé durant ces années. Malheureusement, la plupart des choses n’auront pas leur place dans votre nouvelle petite maison. Mais est-ce l’accumulation des choses qui donnent un sens à votre vie ?
SE FAIRE ACCOMPAGNER
Bien qu’il s’agisse d’un « petit » déménagement pour une transition vers un petit « chez soi »., c’est tout sauf simple. Cela passe par une préparation efficace pour que cela soit vécu le mieux possible. Donnez-vous du temps, envisagez une option de stockage disponible, faites-vous accompagner. Le métier de « Home Organiser » venant des Etats-Unis et du Japon a commencé à prendre sa place en France. Une personne spécialisée vous accompagne pour alléger vos intérieurs, retrouver votre essentiel et transformer vos modes de consommation.
Aussi important que cela paraisse, en vous consacrant sur la réduction et le désencombrement, vous dégagerez des bénéfices. Moins mènerait à plus ?
Au Québec, ce mouvement a pris de l’ampleur malgré le fait que les acheteurs soient encore à la recherche de grandes propriétés. Selon Bertrand Recher, analyste principal de marché pour la région de Montréal à la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), il se construit deux fois plus de condos que de maisons unifamiliales .
Ainsi, avant d’emménager dans plus petit, il importe d’évaluer l’espace dont vous disposerez et de vous y projeter. Rien de tel de réserver un séjour type airbnb en micro-habitat type tiny house pour réaliser véritablement. Misez ensuite sur la qualité (couchage, extérieurs..), facteur important pour maintenir votre style de vie. En plus de rendre votre quotidien plus agréable, ces éléments vous permettront de faciliter la revente de votre propriété.
Il n’y aura pas beaucoup d’espace au sol ou dans les placards de votre petite maison. La meilleure approche consiste à tirer parti de tout le mobilier installé. Exemple : des étagères, des crochets et d’autres solutions de stockage créatives.
Le mobilier hybride pour plusieurs usages est donc une arme secrète dans les petites maisons.
Les grands classiques :
- Siège qui sert aussi de rangement
- Diviseurs d’étagère
- Bureau rabattable
- Rangement sous l’escalier
Votre petite maison est toujours une maison. Assurez-vous que vous y avez des choses qui vous divertissent et vous laissent à l’aise.
En conclusion, décider quoi emporter lorsque vous emménagez dans une petite maison peut être stressant, surtout si vous quittez une grande maison.
La clé? Réfléchir au mode de vie que vous souhaitez mener, au type d’habitation qui vous convient, ainsi qu’à votre budget .
Iziplace travaille en collaboration avec Pause Rangement. Violaine vous aide à préparer le déménagement par le tri de vos affaires. Ce tri vous garantit de ne garder que l’essentiel, ce qui répondra à vos besoins pratiques du quotidien d’une part, et qui apportera de la joie à votre foyer d’autre part. Il sera alors facile de ranger vos affaires… qui seront en moins grand nombre et plus qualitatives.
Décision financière ou mode de vie, le downsizing est un choix qui doit être mûrement réfléchi. Faites appel à nos services afin de faire le tour de la question.
Une autre façon d’acquérir une résidence secondaire : P.R.L
Les Parcs Résidentiels de Loisirs (PRL), vous connaissez ? On rêve tous d’un petit endroit cosy avec une situation géographique idéale (bords de mer, montagne, campagne…), avez-vous pensé aux PRL ?
Tout ce qu’il faut savoir sur cette coquille immobilière.
Devenir propriétaire d’une maison de vacances écologique, en pleine nature et à un prix abordable, c’est possible grâce aux Parcs Résidentiels de Loisirs (PRL). Les atouts de ce nouveau concept ne manquent pas. En effet, le PRL est une alternative accessible, pratique et originale pour les propriétaires en quête d’une résidence secondaire. Il offre la possibilité d’acquérir une tiny house, cottage en bois, …ect tout en ayant de multiples services et installations à sa disposition (gardiennage, piscines ou encore aires de jeux), et ce tout au long de l’année.
A mi-chemin entre la maison de campagne, très coûteuse à entretenir, et le mobile home, qui manque d’espace et de calme pour des vacances prolongées, le PRL est une solution économique peu connue et médiatisée.
ll existe deux manières d’acquérir un bien en Parc Résidentiel de Loisirs (PRL):
Le PRL Hôtelier : il s’agit d’une location de la parcelle. La résidence vous appartient mais vous n’êtes pas propriétaire du terrain. La location de la parcelle se fait à l’année. Le prix de la location annuelle inclut les charges (entretien, gardiennage…). Pas de mauvaises surprises
Le PRL à cession de parcelle : vous êtes propriétaire de votre résidence, de votre parcelle de terrain. La gestion d’un PRL à cession de parcelles fonctionne comme une copropriété classique composée de parties communes et privatives, et est assurée dans le cadre d’un règlement et/ou d’un cahier des charges par une Association syndicale libre (ASL regroupant tous les propriétaires) pouvant faire appel à un syndic professionnel.
La construction est extrêmement réglementée : il n’est possible de réaliser que des habitations légères de loisirs (HLL). Et rien d’autre. L’idéal pour une tiny house ou autre micro-habitat.
Et si on compare à une résidence secondaire classique ?
Financièrement parlant, entre le crédit à rembourser, les impôts (taxe foncière, d’enlèvement des ordures ménagères), les frais d’entretien (de la maison mais aussi éventuellement du terrain, de la piscine, etc.), de fonctionnement (chauffage, électricité, eau, téléphone, etc.) et d’assurance, entretenir une résidence secondaire peut coûter cher, surtout si l’on ne peut compter sur aucun revenu locatif.
Parce qu’il s’appuie sur des frais d’entretien et de gardiennage modérés (de 60 à 80 € par mois) et propose une option de « gestion locative » permettant au propriétaire de louer son habitat quand il n’y est pas.
Quant à la taxe foncière, elle est peu élevée car le terrain, sur lequel se trouvent ces habitations, est considéré comme « non bâti ». Et pour ce qui est de la revente de son habitat, il n’est pas nécessaire de passer par un intermédiaire.
Tout confort !
Côté pratique, les PRL sont accessibles toute l’année et parfaitement aménagés (parkings, aires de jeux, etc.). Quant aux habitats, ils sont livrés « prêts à vivre » et disposent de tout le confort et de l’équipement nécessaires (meubles, literie, électroménager, connexion Wi-Fi, etc.). En clair, vous n’avez plus qu’à y poser vos valises. Enfin, l’offre de services (gardiennage, entretien, etc.) mise à disposition des propriétaires tout au long de l’année peut se révéler très appréciable. D’un simple coup de fil, vous pouvez, par exemple, demander au gardien qu’il allume le chauffage avant votre arrivée. De même, pas de pelouse à tondre, d’arbres à tailler ni de piscine à vidanger, les espaces communs sont régulièrement entretenus et les parcelles privatives peuvent l’être aussi moyennant un coût raisonnable.
Un concept 100% éco-responsable
Dans la plupart des PRL, le respect de la nature est au centre de toutes les préoccupations. Les propriétaires de PRL mettent par exemple, un point d’honneur à garantir l’éco-responsabilité de ses réalisations (des chalets à ossature « bois ») en réduisant au maximum leur impact sur l’environnement tout en répondant aux normes constructives.
Les points à retenir
- Habitat Léger de Loisirs (HLL) uniquement : type tiny house ou autre micro-habitat
-Situation privilégiée ou proche nature
-Services inclus (entretien, conciergerie…)
-Achat à coût maîtrisé avec des charges réduites
-Fiscalité avantageuse
Que vous soyez propriétaire ou acquéreur, nous sommes à votre écoute pour vous accompagner. Contactez-nous !
Crédit photo : Les Ptits Nids
On parle de nous ! Iziplace, spécialiste du micro-habitat
Les toutes petites maisons dans la prairie
Des études en marketing et communication, plus de vingt ans d’expérience en immobilier… Céline Chatriot a travaillé dans des grandes structures, mais vise désormais résolument petit ! En juin 2022, elle a créé à Vertou où elle réside sa petite entreprise spécialisée dans le micro-habitat. “J’ai toujours baigné dans l’immobilier et ses différents aspects, ce qui m’est très utile aujourd’hui. Et je suis très intéressée par le micro-habitat sous toutes ses formes.” Un intérêt renforcé par la nécessité d’agrandir sa maison à moindres frais pour accueillir sa famille éloignée.
Pour ce genre de problématique, la tiny house coche toutes les cases : 20 à 25 m2 de surface, installée en huit à dix mois, équipée ou personnalisable, pour environ 60 000 euros hors terrain… “Tout est pensé pour ne pas se sentir à l’étroit. C’est un habitat passif, facile à chauffer, qui peut être autonome en énergie et en termes d’assainissement, agile, on peut la déplacer, et qui ne nécessite pas une grande emprise au sol. Elle peut servir de bureau pour le télétravail ou une activité libérale, ou d’habitat pour recevoir les amis, s’assurer un complément de revenus en location touristique ou accueillir des saisonniers…”
Avec sa carte d’agent immobilier, Céline Chatriot peut rechercher le terrain et s’occupe des démarches d’urbanisme – déclaration de travaux ou permis de construire au-delà de 20 m2. “C’est une vraie solution d’habitat pour demain. Il faut apprendre à vivre dans de plus petites surfaces.”
Les P'tits Nids, un micro habitat éco-chic qui s'adapte à tous les besoins
Séduits par la qualité des matériaux, leur gestion des ressources, leurs garanties sans oublier leurs valeurs humaines, ces p'tits nids cochent toutes les cases !
Ce concept rejoint l'ADN d'IZIPLACE en proposant des mini maisons en bois, alternatives aux habitats d’aujourd’hui.
Les caractéristiques :
- Une pièce de vie d'une largeur similaire à celle d'une maison classique (4mètres)
- Un design en arrondis, absence d'arrêtes entre les cloisons
- Une baie vitrée toute hauteur, toute largeur pour inonder de lumière. Cela change la perception des m²
- Un aménagement de plain-pieds, accessibilité totale
- Un ratio qualité/coûts optimisés
Profiter des espaces – extérieurs – sans les contraintes des petits espaces – intérieurs, le concept du micro habitat répond à de nombreux projets qu'ils soient personnels ou professionnels. Imaginer des bureaux, une salle de réunion, un gîte, un cabinet praticien, un habitat... dans ces p'tits nids !
Des matériaux sains, un design épuré à l’esthétique minimaliste, ces modèles (de 20m² à 45m²) sauront vous séduire.
Ce type de projet aussi mini soit-il reste un « investissement » financier et pas que, du temps est nécessaire.
Nous vous proposons des formules sur-mesure pour vous permettre d'investir financièrement en vous facilitant la tâche et en vous libérant du temps⏳
- Recherche de terrain, analyse du vôtre,
- Analyse du PLU, simulation d'implantation,
- Contacts avec la Mairie,
- Préparation des documents administratifs (montage du dossier de Déclaration Préalable ou Permis de Construire),
- Intégration dans le paysage, orientation,
- Implantation & raccordement (viabilisation, type d'assainissement..)
Si vous êtes intéressés par ce micro habitat, nous sommes à votre écoute et vous souhaitez les contacter en direct, mot de passe : IZIPLACE. Une surprise vous attendra.
Réglementation autour de la Tiny House
Pour installer votre tiny house sur un terrain, vous devez respecter la réglementation en vigueur. Si vous souhaitez poser votre Tiny House sur un terrain constructible, vous devez respecter le PLU (Plan Local d’Urbanisme) communal ou intercommunal (PLUi) qui détermine les conditions d’aménagement et d’utilisation des sols. Dans ce cas, une simple déclaration de travaux (DP) suffit.
Si le terrain n’est pas constructible, la réglementation fixe le séjour à trois mois maximum sur le terrain. Si vous souhaitez faire de la Tiny House votre habitat permanent, vous devrez alors vous rapprocher de la mairie et du responsable de l’urbanisme, afin d’obtenir une autorisation pour installer votre Tiny House.
Attention, l'installation n'est pas possible dans le périmètre des sites patrimoniaux remarquables, des abords des monuments historiques et des sites classés ou en instance de classement. Si sa surface de plancher excède 20 m2, elle est soumise à un permis de construire (par exemple avec 2 tinys).
Côté assurance, votre Tiny House doit être assurée au moment du déplacement par le biais du véhicule qui la tracte. Lorsqu’elle sert d’habitation, vous pouvez faire appel à un assureur spécialisé dans l’assurance de Tiny House, ou bien contacter votre assureur pour convenir des garanties les plus adaptées à votre habitat alternatif.
A noter : Les tinys respectent les gabarits routiers qui leur permettent de se déplacer facilement sur les routes françaises : 2,55 mètres de large, 4,20 mètres de haut et un poids total inférieur à 3,5 tonnes. Au-delà de ce format, les Tiny Houses sont considérées comme des convois exceptionnels et le déplacement est nettement plus coûteux. Attention, le permis B ne suffit pas pour pouvoir déplacer votre Tiny House, vous devez être en possession du permis BE pour pouvoir conduire une voiture et une remorque d’une telle charge (le constructeur vous proposera un forfait au km pour la livraison, bien moindre qu'un transport en convoi exceptionnel).
Pour concrétiser votre projet, nous vous apportons l’accompagnement adapté : de la recherche du terrain, en passant par l’analyse de l’urbanisme de chaque commune jusqu’à l’installation. Prenez contact et exposez-nous votre projet !
Processus pour concrétiser son projet de tiny house
Le processus constructif pour un micro-habitat est à la fois court et complexe : il faut optimiser chaque étape et chaque détail.
9 étapes sont nécessaires à la réalisation complète d’un projet
Etape 1 : 1er contact, cahier des charges
Etape 2 : mandat de recherche pour votre terrain ou étude zonage/PLU de votre terrain en possession
Etape 3 : visite de terrains ciblés, étude PLU ou étude de l’implantation de votre micro-habitat sur votre terrain (relevés sur site, repérage terrain & réseaux)
Etape 4 : rendez-vous/échange avec l’urbanisme, préparation du dossier de Déclaration Préalable (DP) ou Permis de Construire (PC)
Etape 5 : choix du constructeur (tiny house, micro-habitat sur pieux...)
Etape 6 : dépôt DP ou PC. Modifications éventuelles. Attente du délai de recours aux tiers
Etape 7 : fabrication en atelier conformément aux options décidées par le client (hors d’eau, hors d’air, personnalisations…)
Etape 8 : préparation des raccordements réseaux selon autonomie souhaitée, visite sur site pour préparer la livraison
Etape 9 : livraison, les clés sont là 😉
Il faut compter entre 8 à 12 mois selon les projets pour la concrétisation.