L'hébergement insolite, un investissement bien pensé !

On vous dit tout ou presque...

Avec un développement perpétuel depuis une décennie, le marché des logements insolites connaît une croissance fulgurante. La crise sanitaire a amplifié ce phénomène, incitant le marché à se structurer et à répondre à une demande grandissante. Les Tiny Houses, les bulles transparentes et les incontournables cabanes dans les arbres sont de plus en plus prisées par les voyageurs à la recherche d'expériences originales.

Selon le site Abracadaroom, spécialiste de l'hébergement insolite en France, cette tendance se confirme avec un panier moyen en hausse de 17 % au cours des deux dernières années.

Le voyage a évolué avec les habitudes des Européens, qui optent désormais pour des escapades plus fréquentes et plus proches de chez eux.
Ajoutez à cela le contexte sanitaire, qui a modifié nos modes de consommation, et vous comprendrez pourquoi les voyageurs recherchent des expériences dépaysantes et atypiques.

Selon une enquête de BOOKING,  la demande pour des logements alternatifs augmente plus rapidement que celle des hébergements traditionnels.

Mais qu'est-ce que le glamping exactement ? Il s'agit d'un type d'hébergement touristique alternatif, proche du camping, qui offre des séjours atypiques (dans une roulotte, une yourte, une maison arboricole, une bulle, etc.).

Contrairement au camping traditionnel, le glamping garantit un certain niveau de confort en matière de literie, de sanitaires et de restauration.
Autre tendance, le slow tourisme, une approche opposée au tourisme de masse, privilégiant des voyages simples, à faible impact écologique et proches de chez soi.

Une chose est certaine, les logements insolites ont un avenir prometteur attirant l'attention des investisseurs.

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Les 10 idées pour aménager votre tiny house

🏡 Cherchez-vous des idées d'aménagement pour optimiser votre tiny house ? Vous êtes au bon endroit ! Découvrez 10 astuces pour rendre votre tiny house fonctionnelle et pratique, que ce soit pour gagner de l'espace ou maximiser le rangement. 🪴

 

  1. Meubles polyvalents et modulables : Des canapés-lits, des tables extensibles ou des lits escamotables vous aident à adapter votre espace à vos besoins.
  2. Rangement vertical : Utilisez des étagères murales, des crochets et des paniers suspendus pour tirer le meilleur parti de chaque centimètre carré.
  3. Solutions intelligentes dans la cuisine : Optez pour des appareils électroménagers compacts et multifonctionnels, ainsi que des astuces d'organisation (les plinthes qui deviennent des tiroirs, pratique pour les torchons ou autre petit matériel servant moins souvent)
  4. Jouez avec les illusions d'optique : Les miroirs et les couleurs claires créent une sensation d'espace.
  5. Exploitez l’extérieur : Créez une terrasse fonctionnelle ou un jardin vertical pour profiter de l'extérieur.
  6. Rangements dissimulés : Maximisez chaque coin inutilisé avec des tiroirs sous les escaliers et des compartiments cachés.
  7. Portes coulissantes : Gagnez de l'espace avec des portes coulissantes et optimisez la circulation.
  8. Meubles pliants : Des meubles pliants vous permettent de libérer de l'espace quand vous en avez besoin.
  9. Matériaux légers : Choisissez des matériaux légers pour faciliter le déplacement des équipements si nécessaire.
  10. Priorité à la fonctionnalité : Organisez chaque espace pour une utilisation optimale (cuisine, sommeil, travail...)

 


Portrait dans Femmes de Bretagne

Merci aux équipes de Femmes de Bretagne pour ce portrait.

Si le micro-habitat a le vent en poupe, peu maîtrisent le sujet de A à Z. Après une carrière passée dans l’immobilier « classique », Céline Chatriot s’est lancée, au sud de Nantes, il y a un an sur le marché émergent et en croissance de la tiny house en proposant un service clé-en-main.

Naît-on entrepreneure ou le devient-on ? C’est parfois à la faveur d’évènements inattendus que le déclic se produit et que l’envie de monter sa boîte pointe résolument son nez.

À l’instar de Céline Chatriot, 42 ans et entrepreneure depuis un an : « Mon expérience professionnelle en tant que directrice d’agence immobilière a dû s’arrêter à l’issue d’un congé maternité, mon poste n’étant plus disponible. Une première réaction épidermique fait rapidement place à une phase de remise en question. Ainsi, émergea l’idée de proposer une solution alternative au marché de l’immobilier. Le constat est connu : un déficit de logements, des prix élevés, des règles de financement qui se durcissent. Étudiants, jeunes actifs, retraités, ceux que je nomme les «accidentés de la vie » : séparés, sans emploi… ; nombreux sont ceux qui chaque jour cherchent un toit et ceux pour qui cette recherche est un véritable cauchemar.

La force de mon réseau, le soutien de mon mari et l’énergie de mes 4 enfants m’ont poussée à me lancer et à créer Iziplace, une entreprise spécialisée dans l’immobilier alternatif du micro-habitat et destiny houses en particulier. »

Vous restez dans votre cœur de métier qu’est l’immobilier : qu’est ce que l’entrepreunariat a changé pour vous ? Est-ce une continuité ou une rupture ?

J’ai le sentiment d’apporter quelque chose de nouveau dans l’immobilier en proposant un service de A à Z dans un marché qui n’est pas du tout de l’immobilier classique. Là, je dois convaincre les communes qui ont besoin d’être sensibilisées à ce nouveau mode d’habitat qu’elles confondent parfois avec l’habitat léger de loisir. Elles font ainsi souvent l’amalgame avec les mobil-homes ou les gens du voyage. Au-delà, ce qui a changé, c’est que je suis seule à la barre à prendre toutes les décisions, ce qui est à la fois excitant et déroutant. Enfin, le facteur humain est beaucoup plus présent : se faire construire une tiny-house, c’est souvent derrière impulser un changement de vie important et accompagner ces moments de vie là, c’est nourrissant et motivant.

Pourquoi avoir choisi la tiny house parmi les habitats alternatifs ?

Je me suis intéressée à l’habitat nomade : yourtes, containers, tiny-houses. En étudiant ces différentes formes de micro-habitat, j’ai fini par choisir la tiny-house : l’entretien de la toile, qui verdit rapidement, est une vraie contrainte pour une yourte, qui m’est apparue peu adaptée au climat de la Loire. Le container, lui, propose un confort thermique inférieur à une tiny-house et, une fois gruté, il est difficile de le déplacer. Les tiny-house sont des constructions à ossature bois comme une maison traditionnelle, à la différence qu’elles sont sontposées sur une remorque. Passives, elles n’ont quasi pas besoin d’être chauffées et en l’équipant de panneaux solaires, on peut les rendre autonomes et surtout elles sont mobiles. Le champs du possible devient intéressant !

Au-delà du choix de la forme de l’habitat, ce qui m’a motivée, c’est que tout est à bâtir car si le marché est en forte croissance, il est aussi émergent. Quand je me suis aperçue auprès d’un constructeur local de tiny house qu’il n’existait pas de solution clé-en-main, je me suis dit qu’il y avait là de quoi creuser mon sillon : Iziplace propose un accompagnement global, de l’étude du foncier disponible en lien avec les communes jusqu’au raccordement et à l’installation sur le terrain en passant bien sûr par la construction proprement dite. Au final, avec une surface de 2,55 mètres de large (nécessaire pour pouvoir circuler sur les routes) jusqu’à 8 mètres de long, les personnes disposent d’un espace de 20 à 35 mètres carrés si on inclu une ou 2 mezzanines où tout est conçu pour ne pas sentir à l’étroit. Que ce soit pour des jeunes, des couples qui se séparent,en location saisonnière ou bien encore pour des professionnels qui souhaitent disposer d’un espace de travail à la fois autonomes et cocooning, la tiny-house est une solution séduisante. Et ce, à un double titre : ce sont des constructions passives écoresponsables qui s’adressent aux petits budgets. Le prix moyen d’une tiny-house, incluant quatre couchages et une salle d’eau par exemple, est de 55 000 euros TTC.

Vous achevez votre première année comme entrepreneure : quelles sont les prochaines étapes du développement d’Iziplace ?

L’entreprise vit un fort décollage depuis janvier et je prévois une embauche l’année prochaine. Mon ambition est de devenir un acteur incontournable de la tiny-house et du micro-habitat dans ma région. J’ai également le projet de développer la location de tiny house aménagée en bureau pour des besoins temporaires liés à des travaux ou des embauches ou en hébergement pour répondre aux problématiques de logement des saisonniers, apprentis. A partir de 3 mois, vous pouvez louer une tiny house . Elle sera préparée, livrée, installée avec une série d’options possibles (terrasse, mobilier..) J’envisage d’ailleurs de créer des partenariats, notamment avec d’autres femmes entrepreneurs à l’activité complémentaire à la mienne que j’ai justement rencontrées au sein du réseau Femmes de Bretagne.

Avec ce réseau, j’ai trouvé naturellement une entraide et une écoute bienveillante ainsi qu’une grande richesse dans les propositions d’ateliers, de rencontres : comment travailler son identité de marque sur les réseaux sociaux ? Quel est notre rapport à l’argent ? Etc. Femmes de Bretagne me fait faire des pas de côté en m’invitant à analyser autrement les choses, de manière à la fois plus intuitive et pragmatique. J’y rencontre d’autres entrepreneures avec lesquelles des partenariats sont possibles, à l’instar par exemple de «Pause Rangement » lancé par Violaine Brunet, car quand on décide de vivre dans un micro-habitat, la question du tri de ses affaires se pose avec tout le volet psychologique qu’il y a derrière.

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Investissement immobilier terrain et tiny house

🍃Imaginez-vous, vous réveillez avec une vue imprenable sur la baie de Saint Brieuc, respirant l'air de la mer, entouré d'un jardin paisible avec une nature préservée. 🌊

C'est le projet d'un de nos clients investisseurs en faisant appel à IZIPLACE, dans l’optique d’y installer une Tiny house pour un projet de location saisonnière.

Nous avons trouvé le terrain, réalisé l'atterrissage financier, géré les démarches administratives/urbanisme. La maîtrise d'œuvre est en cours (viabilisation, raccordement, portail, design paysager, éclairage extérieur, mobilier, etc.). Nous proposons une solution clé en main selon les attendus clients.

🎯Le résultat : un projet personnalisé idéal pour la location type Airbnb.
💶 Rentabilité brute : 9% (Hypothèse taux d'occupation 50%) ,

Qu'en pensez-vous?

Vous aussi, vous pouvez investir dans un projet éthique et responsable avec IZIPLACE !
Contactez-nous dès maintenant pour en savoir plus.


Une autre façon d’acquérir une résidence secondaire : P.R.L

Les Parcs Résidentiels de Loisirs (PRL), vous connaissez ? On rêve tous d’un petit endroit cosy avec une situation géographique idéale (bords de mer, montagne, campagne…), avez-vous pensé aux PRL ?

Tout ce qu’il faut savoir sur cette coquille immobilière.

Devenir propriétaire d’une maison de vacances écologique, en pleine nature et à un prix abordable, c’est possible grâce aux Parcs Résidentiels de Loisirs (PRL). Les atouts de ce nouveau concept ne manquent pas. En effet, le PRL est une alternative accessible, pratique et originale pour les propriétaires en quête d’une résidence secondaire. Il offre la possibilité d’acquérir une tiny house, cottage en bois, …ect tout en ayant de multiples services et installations à sa disposition (gardiennage, piscines ou encore aires de jeux), et ce tout au long de l’année.

A mi-chemin entre la maison de campagne, très coûteuse à entretenir, et le mobile home, qui manque d’espace et de calme pour des vacances prolongées, le PRL est une solution économique peu connue et médiatisée.

ll existe deux manières d’acquérir un bien en Parc Résidentiel de Loisirs (PRL):

Le PRL Hôtelier : il s’agit d’une location de la parcelle. La résidence vous appartient mais vous n’êtes pas propriétaire du terrain. La location de la parcelle se fait à l’année. Le prix de la location annuelle inclut les charges (entretien, gardiennage…). Pas de mauvaises surprises

Le PRL à cession de parcelle : vous êtes propriétaire de votre résidence, de votre parcelle de terrain.  La gestion d’un PRL à cession de parcelles fonctionne comme une copropriété classique composée de parties communes et privatives, et est assurée dans le cadre d’un règlement et/ou d’un cahier des charges par une Association syndicale libre (ASL regroupant tous les propriétaires) pouvant faire appel à un syndic professionnel.

La construction est extrêmement réglementée :  il n’est possible de réaliser que des habitations légères de loisirs (HLL). Et rien d’autre. L’idéal pour une tiny house ou autre micro-habitat.

Et si on compare à une résidence secondaire classique ?

Financièrement parlant, entre le crédit à rembourser, les impôts (taxe foncière, d’enlèvement des ordures ménagères), les frais d’entretien (de la maison mais aussi éventuellement du terrain, de la piscine, etc.), de fonctionnement  (chauffage, électricité, eau, téléphone, etc.) et d’assurance, entretenir une résidence secondaire peut coûter cher, surtout si l’on ne peut compter sur aucun revenu locatif.

Parce qu’il s’appuie sur des frais d’entretien et de gardiennage modérés (de 60 à 80 € par mois) et propose une option de « gestion locative » permettant au propriétaire de louer son habitat quand il n’y est pas.

Quant à la taxe foncière, elle est peu élevée car le terrain, sur lequel se trouvent ces habitations, est considéré comme « non bâti ». Et pour ce qui est de la revente de son habitat, il n’est pas nécessaire de passer par un intermédiaire.

Tout confort !

Côté pratique, les PRL sont accessibles toute l’année et parfaitement aménagés (parkings, aires de jeux, etc.). Quant aux habitats, ils sont livrés « prêts à vivre » et disposent de tout le confort et de l’équipement nécessaires (meubles, literie, électroménager, connexion Wi-Fi, etc.). En clair, vous n’avez plus qu’à y poser vos valises. Enfin, l’offre de services (gardiennage, entretien, etc.) mise à disposition des propriétaires tout au long de l’année peut se révéler très appréciable. D’un simple coup de fil, vous pouvez, par exemple, demander au gardien qu’il allume le chauffage avant votre arrivée. De même, pas de pelouse à tondre, d’arbres à tailler ni de piscine à vidanger, les espaces communs sont régulièrement entretenus et les parcelles privatives peuvent l’être aussi moyennant un coût raisonnable.

Un concept 100% éco-responsable

Dans la plupart des PRL, le respect de la nature est au centre de toutes les préoccupations. Les propriétaires de PRL mettent par exemple, un point d’honneur à garantir l’éco-responsabilité de ses réalisations (des chalets à ossature « bois ») en réduisant au maximum leur impact sur l’environnement tout en répondant aux normes constructives.

Les points à retenir

- Habitat Léger de Loisirs (HLL) uniquement : type tiny house ou autre micro-habitat

-Situation privilégiée ou proche nature

-Services inclus (entretien, conciergerie…)

-Achat à coût maîtrisé avec des charges réduites

-Fiscalité avantageuse

Que vous soyez propriétaire ou acquéreur, nous sommes à votre écoute pour vous accompagner. Contactez-nous !

 

Crédit photo : Les Ptits Nids


On parle de nous ! Iziplace, spécialiste du micro-habitat

Les toutes petites maisons dans la prairie

Des études en marketing et communication, plus de vingt ans d’expérience en immobilier… Céline Chatriot a travaillé dans des grandes structures, mais vise désormais résolument petit ! En juin 2022, elle a créé à Vertou où elle réside sa petite entreprise spécialisée dans le micro-habitat. “J’ai toujours baigné dans l’immobilier et ses différents aspects, ce qui m’est très utile aujourd’hui. Et je suis très intéressée par le micro-habitat sous toutes ses formes.” Un intérêt renforcé par la nécessité d’agrandir sa maison à moindres frais pour accueillir sa famille éloignée.

Pour ce genre de problématique, la tiny house coche toutes les cases : 20 à 25 m2 de surface, installée en huit à dix mois, équipée ou personnalisable, pour environ 60 000 euros hors terrain… “Tout est pensé pour ne pas se sentir à l’étroit. C’est un habitat passif, facile à chauffer, qui peut être autonome en énergie et en termes d’assainissement, agile, on peut la déplacer, et qui ne nécessite pas une grande emprise au sol. Elle peut servir de bureau pour le télétravail ou une activité libérale, ou d’habitat pour recevoir les amis, s’assurer un complément de revenus en location touristique ou accueillir des saisonniers…”

Avec sa carte d’agent immobilier, Céline Chatriot peut rechercher le terrain et s’occupe des démarches d’urbanisme – déclaration de travaux ou permis de construire au-delà de 20 m2. “C’est une vraie solution d’habitat pour demain. Il faut apprendre à vivre dans de plus petites surfaces.”

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Les P'tits Nids, un micro habitat éco-chic qui s'adapte à tous les besoins

Séduits par la qualité des matériaux, leur gestion des ressources, leurs garanties sans oublier leurs valeurs humaines, ces p'tits nids cochent toutes les cases !

Ce concept rejoint l'ADN d'IZIPLACE en proposant des mini maisons en bois, alternatives aux habitats d’aujourd’hui.

Les caractéristiques :

  • Une pièce de vie d'une largeur similaire à celle d'une maison classique (4mètres)
  • Un design en arrondis, absence d'arrêtes entre les cloisons
  • Une baie vitrée toute hauteur, toute largeur pour inonder de lumière. Cela change la perception des m²
  • Un aménagement de plain-pieds, accessibilité totale
  • Un ratio qualité/coûts optimisés

Profiter des espaces – extérieurs – sans les contraintes des petits espaces – intérieurs, le concept du micro habitat répond à de nombreux projets qu'ils soient personnels ou professionnels. Imaginer des bureaux, une salle de réunion, un gîte, un cabinet praticien, un habitat... dans ces p'tits nids !

Des matériaux sains, un design épuré à l’esthétique minimaliste, ces modèles (de 20m² à 45m²) sauront vous séduire.

Ce type de projet aussi mini soit-il reste un « investissement » financier et pas que, du temps est nécessaire.

Nous vous proposons des formules sur-mesure pour vous permettre d'investir financièrement en vous facilitant la tâche et en vous libérant du temps⏳
- Recherche de terrain, analyse du vôtre,
- Analyse du PLU, simulation d'implantation,
- Contacts avec la Mairie,
- Préparation des documents administratifs (montage du dossier de Déclaration Préalable ou Permis de Construire),
- Intégration dans le paysage, orientation,
- Implantation & raccordement (viabilisation, type d'assainissement..)

Si vous êtes intéressés par ce micro habitat, nous sommes à votre écoute et vous souhaitez les contacter en direct, mot de passe : IZIPLACE. Une surprise vous attendra.


Réglementation autour de la Tiny House

Pour installer votre tiny house sur un terrain, vous devez respecter la réglementation en vigueur. Si vous souhaitez poser votre Tiny House sur un terrain constructible, vous devez  respecter le PLU (Plan Local d’Urbanisme) communal ou intercommunal (PLUi) qui détermine les conditions d’aménagement et d’utilisation des sols. Dans ce cas, une simple déclaration de travaux (DP) suffit.

Si le terrain n’est pas constructible, la réglementation fixe le séjour à trois mois maximum sur le terrain. Si vous souhaitez faire de la Tiny House votre habitat permanent, vous devrez alors vous rapprocher de la mairie et du responsable de l’urbanisme, afin d’obtenir une autorisation pour installer votre Tiny House.

Attention, l'installation n'est pas possible dans le périmètre des sites patrimoniaux remarquables, des abords des monuments historiques et des sites classés ou en instance de classement. Si sa surface de plancher excède 20 m2, elle est soumise à un permis de construire (par exemple avec 2 tinys).

Côté assurance, votre Tiny House doit être assurée au moment du déplacement par le biais du véhicule qui la tracte. Lorsqu’elle sert d’habitation, vous pouvez faire appel à un assureur spécialisé dans l’assurance de Tiny House, ou bien contacter votre assureur pour convenir des garanties les plus adaptées à votre habitat alternatif.

A noter : Les tinys respectent les gabarits routiers qui leur permettent de se déplacer facilement sur les routes françaises : 2,55 mètres de large, 4,20 mètres de haut et un poids total inférieur à 3,5 tonnes. Au-delà de ce format, les Tiny Houses sont considérées comme des convois exceptionnels et le déplacement est nettement plus coûteux. Attention, le permis B ne suffit pas pour pouvoir déplacer votre Tiny House, vous devez être en possession du permis BE pour pouvoir conduire une voiture et une remorque d’une telle charge (le constructeur vous proposera un forfait au km pour la livraison, bien moindre qu'un transport en convoi exceptionnel).

Pour concrétiser votre projet, nous vous apportons l’accompagnement adapté : de la recherche du terrain, en passant par l’analyse de l’urbanisme de chaque commune jusqu’à l’installation. Prenez contact et exposez-nous votre projet !

 


Iziplace invitée par TELENANTES

Nous avons répondu aux questions de TELE NANTES lors de l'émission : L'immobilier, on en parle ! animée par Vincent Perrocheau

La nouvelle tendance de la micro-habitation 

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